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Les questions clés à se poser avant de s’installer

Pour une installation réussie, voici donc les questions clés que vous devez vous poser.

1. Quel type d’exercice ?

C’est une question primordiale. Il va falloir réfléchir au type de cabinet que vous souhaitez avoir. Sera-t-il omnipratique ? Plutôt orienté ? Vers la parodontologie, l’implantologie, l’endodontie… ?

Ensuite réfléchir à intégrer un cabinet de groupe, ou faire votre carrière en solo. L’avantage de l’exercice en groupe est indéniablement le partage de nombreux frais de fonctionnement et la possibilité d’avoir un plateau technique plus complet, mais cela signifie de trouver des personnes avec lesquelles vous devez partager les mêmes points de vue sur : la prise en charge des patients, l’organisation du cabinet, le management du personnel, … Une association c’est comme un mariage, il faut choisir la ou les bonnes personnes !

L’emplacement de votre futur cabinet sera également important: souhaitez-vous vous installer dans une zone urbaine ou plutôt à la campagne ? Quelle est la densité de praticiens là vous souhaitez vous installer ? Quel âge ont les praticiens à proximité de l’emplacement choisi ? Autant de données qui auront une influence directe sur la réussite de votre installation et sa progression.

Les choix à faire sont nombreux et pourtant essentiel à votre épanouissement professionnel  mais aussi personnel. Surtout qu’il est très difficile a posteriori de revenir en arrière ou de modifier les habitudes données au départ.

2. Sur quels partenaires s’appuyer ?

Plusieurs personnes participeront indirectement au succès de votre cabinet. A vous de bien les choisir afin d’établir avec ces dernières une relation de confiance qui s’installera le long de votre carrière.

  • Le banquier : Faites des comparaisons et n’hésitez pas à mettre les banques en concurrence afin de bénéficier des meilleurs conditions tarifaires et des meilleures offres de financement.

  • L’avocat : la création d’un cabinet requiert une connaissance exhaustive de la législation en vigueur. N’hésitez donc pas pour tous les aspects juridiques (création de société, rédaction de bail professionnel …), à faire appel à un spécialiste. Considérez leurs honoraires comme un investissement utile pour éviter plus tard certains problèmes délicats.

  • L’expert comptable : pour vos choix de financements (crédit ou leasing, achat ou location, etc.), c’est la personne la plus adaptée. Mais aussi pour établir un budget prévisionnel et s’assurer de la viabilité de votre projet.

  • Le prothésiste : Le choix d’un prothésiste est souvent sous estimé. Aussi, la première chose à faire est de décider avec quel laboratoire travailler. Prenez contact et visitez en plusieurs au préalable. Cela vous permettra de connaître les méthodes de travail de chacun.

  • L’architecte : Là aussi, il est plus utile de raisonner en investissement qu’en dépenses. En effet, un architecte spécialisé, vous fera prendre de nombreux raccourcis, vous épargnera de nombreuses erreurs et du stress.

3. Quel personnel embaucher ?

Que ce soit votre secrétaire médicale, vos assistants, vos stagiaires… il est important de vous entourer d’une équipe qualifiée qui partage les mêmes valeurs professionnelles et la même éthique que vous, afin d’assurer une stabilité à votre cabinet. N’hésitez donc pas à multiplier les entretiens afin de trouver « les perles rares ». Un investissement en temps qui s’avérera payant sur le long terme.

4. Quel matériel installer ?

Votre distributeur de matériel a un rôle fondamental lors de l’installation, mais aussi tout au long de votre carrière. Quelles techniques allez-vous employer ? Quel logiciel de soin ? Quels appareils de radiologie ? Investir ou non dans la 3D…

Il faudra donc penser en amont toutes ces technologies et innovations technologiques afin de choisir du matériel contribuant à l’amélioration de la qualité des soins de votre future patientèle.

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