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Le patient virtuel est là

L’ère du numérique a débuté

Si ce « miracle » est désormais possible, c’est grâce à l’avènement de 2 technologies qui ont d’ores et déjà commencé à transformer notre exercice. Tout d’abord, l’imagerie 3D qui s’impose peu à peu dans les cabinets. À quoi ressemble la structure osseuse ? Quelle est la distance avec le canal dentaire ? L’endo est-elle parfaitement réalisée ? Quelles relations avec le sinus ? Autant de questions que l’on se pose régulièrement dès lors qu’on a intégré l’implantologie à sa pratique quotidienne, et dont la radiographie en 3D nous permet d’obtenir des réponses rapides et satisfaisantes.

 

Moins de stress grâce à la visualisation 3D

La troisième dimension a cet avantage d’augmenter à la fois la sécurité de la pratique clinique mais également la confiance des patients. En effet, grâce à la visualisation en couleur du canal nerveux et à la représentation des os dans toutes les dimensions, l’implant peut être parfaitement adapté à l’anatomie du patient. Cela garantit un haut niveau de sécurité car la planification et la mise en œuvre précises permettent d’éviter tout stress inutile.

Sans oublier le temps gagné lors des consultations des patients étant donné que ceux-ci comprennent plus facilement la visualisation en 3D.

 

La CFAO s’installe progressivement

Mais pour en arriver au patient virtuel, il faut également s’appuyer sur une autre révolution numérique en marche dans les cabinets, c’est celle de la CFAO. En associant empreintes optiques et radiographie 3D, il est désormais possible de planifier simultanément un traitement chirurgical et prothétique et de mettre en œuvre le plan de traitement élaboré à l’aide d’un guide chirurgical. Et désormais d’aller encore plus loin avec une représentation réelle des structures anatomiques du visage, des dents et des os. L’« image miroir » virtuelle obtenue permet aux praticiens de planifier une thérapie et facilite la compréhension du traitement par les patients. Le scanner facial intégré enregistre la surface du visage parallèlement à l’image radiographique. Grâce à l’illustration graphique fidèle à la réalité, les patients s’identifient plus facilement et comprennent mieux et plus rapidement les suggestions de traitement. Ils sont encore plus confiants mais également bluffés de voir que la réalité ait rattrapé la science fiction.

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